Un nouveau départ [X]

Je regardai Abbi qui visitait les alentours.
"Ne t'en fais pas pour ta vie privée, toute la zone est protégée par un champs d'illusion et de confusion, forçant inconsciemment quiconque n'étant pas un démon à faire demi-tour, alors viens"
Je rentrai dans le manoir, laissant ma connaissance des lieux me guider, je regardai derrière moi, pour qu'Abbi ne se perde pas. Jarrivai devant une porte plus luxueuse que les autres, je l'ouvris, la pièce derrière était une chambre grand luxe: une pièce gigantesque, un grand lit à baldaquin collé au mur opposé à la porte, des placards dont les décorations semblaient les incruster dans les murs, un lustre d'argent et de diamant illuminait le tout
"Voilà notre chambre, la salle de bain et les commodités sont par là"dis-je en montrant une autre porte

Je fini mon inspection quand Azraël me dit.

"Ne t'en fais pas pour ta vie privée, toute la zone est protégée par un champs d'illusion et de confusion, forçant inconsciemment quiconque n'étant pas un démon à faire demi-tour, alors viens"

Je souris à cela et le suivit à l'intérieur. Je continua à le suivre de perd de me perdre, tout en examinant le lieu qui allait à présent me servir de domicile. Je pouvais dire que vu la richesse du lieu, je ne manquerais de rien. Puis on se stoppa devant une porte qui semblait être plus luxueuse que les autres, j'en déduis que je faisais face à la chambre des maîtres. Quand il l'ouvrit, je vis que ma déduction était la bonne. En entrant, je fus éblouis par la riche et le luxe de la chambre, une pièce gigantesque, un grand lit à baldaquin collé au mur opposé à la porte, des placards dont les décorations semblaient les incruster dans les murs, un lustre d'argent et de diamant illuminait le tout.

Je me demanda pourquoi il me montra sa chambre, mais je fus vite répondu.

"Voilà notre chambre, la salle de bain et les commodités sont par là"

Il me pointa les portes en énonçant où elles menèrent. Je hocha de la tête puis je me dirigea vers le lit pour en tester le matelas, jugeant qu'il était assez moelleux, je posa mon postérieur dessus et rebondit à plusieurs reprises dessus. Je m'amusa à faire du trampoline, oubliant la présence de mon maître dans la pièce.

Je la regarde tester le matelas, sourit en m'approchant d'elle, voyant néanmoins les lattes protester face à ces rebonds.
"Arrête ou nous ne pourrons plus dormir dessus"dis-je en rigolant doucement
Je la regardais se calmer alors que je m'asseyais puis m'allongeais de l'autre côté du lit, ayant fait disparaitre mes ailes, croisant mes bras sous ma tête et fermant les yeux, n'ayant pas vraiment besoin de dormir mais pour me détendre un peu. Je l'entend se coucher aussi et s'approcher de moi, j'ouvre les yeux et la regarde.
"La visite t'a plu ?"lui demandais-je malgré les étincelles de bonheur qui brillaient dans les yeux de ma dragonne. Je souris, content d'être tombé sur un dragon, et heureux qu'elle soit si gentille.

Je m'arrêta dans jouer quand mon maître s'approcha de moi et me dit :

- "Arrête ou nous ne pourrons plus dormir dessus"

Je savais qu'il n'était pas furieux car il rit après cela. Je me calma aussitôt près cela, puis il se coucha de l'autre côté du lit, les bras sous sa tête et ferma les yeux. Je me coucha à ses côté, et je rampa dans sa direction. Il ouvrit ses yeux pour les fixer sur moi.

- "La visite t'a plu ?"

Un sentiment de bonheur m'envahit en regardant ce superbe spécimen d'homme sous moi. J'étais fière que ce démon soit mon maître, j'avais le sentiment que je serais très bien traité avec lui, il était du genre Sévère mais juste, comme une main de fer dans un gant de velours. Je me permis de m'étendre contre son flanc et de poser ma tête sur son épaule. Je poussa l'audace plus loin, en allant lui déposer un chaste baiser sur sa joue.

-" Oui, ton manoir est superbe maître."

Je souris en la voyant me dévorer du regard, et ne me gênais pas pour en faire autant, en effet, je devais admettre que c'était une belle femme, des formes parfaites ,un caractère plutôt joueuse mais obéissante et sans doute loyal, elle me plaisait beaucoup, autant physiquement que moralement.
Lorsqu'elle posa sa tête sur mon épaule ,je me détendis ,sachant que je n'avais pas à me méfier d'elle, lui accordant déjà toute ma confiance.
Je fus agréablement surpris lorsqu'elle osa embrasser ma joue, je me tournai alors vers elle et déposa un furtif baiser sur ses lèvres, puis sourit, lui montrant qu'elle pouvais avoir confiance en moi, je ne lèverais jamais la main sur elle, mais je demandai tout de même une obéissance sans faille.
"Abbigaël....puis-je t'appeler Abbi ?"demandais-je en souriant
Je ne pouvait m'empêcher de contempler la beauté qui me servait désormais de servante, plus que fier qu'elle m'ai accepté comme maître.

Je ferma mes yeux pour me reposer quand je les ouvrit rapidement sous l'effet de surprise causé par son mouvement vers moi, et surtout par son baiser furtif sur mes lèvres. Après cela il me sourit, comme si il voulait me faire passer un message à travers cela. Je le comprit par son sourire et son regard. Je sais maintenant que j'ai fait le bon choix, qu'il ne me frapperais jamais, dû moins sans une bonne raison et que je pouvais avoir confiance en lui. De plus, le faites qu'il soit si haut placé dans la hiérarchie, montrait que mon géniteur le tenait en haut estime.

"Abbigaël....puis-je t'appeler Abbi ?"

Me dit-il en souriant, face à cela comment voulez vous que je refuse ?

-" Bien sur maître, tu peux me nommer comme tu le souhaite, je répondrais à chaque fois."

Je sentis son regard me parcourir, je ne pus empêcher un frisson d'excitation me traverser. Je m'appuya une nouvelle fois sur lui en fermant les yeux pour endiguer ce flot de désir, qui était importun pour le moment, c'est ce que je croyais....

Je souriai encore à sa réponse, content qu'elle soit aussi docile avec moi.
Alors qu'elle se serrai contre moi, je sentais une douce chaleur m'envahir, mais je n'arrivai pas à déterminer si c'étais le désir qu'elle semblait ressentir pour moi ou celui que j'éprouvais pour elle qui me réchauffais comme ça. Je me serrais contre elle et en profitait pour laisser mes mains la caresser, son corps étant incroyablement chaud, je supposais que c'était dû à sa nature, je sentais son coeur battre la chamade, faisant écho au mien.
Je commençai à avoir un peu chaud avec mes habits de ville, je m'éloignai d'elle mais pas trop ,voulant retrouver sa chaleur le plus vite possible, enlève mon haut ,exposant ma musculature et mes cicatrices d'anciennes batailles, et la regarde.
"Il fait chaud d'un coup"dis-je en souriant
Je retournai ensuite auprès d'elle pour me réchauffer, sa douce chaleur et son désir m'entourant d'une douce sensation, je me sentais bien auprès d'elle, je sentais que j'avais bien choisi

Je commençais à m'endormir quand je sentit les mains de mon maître parcourir mon corps et me serrer conter lui. C'est ainsi que j'entendis son coeur battre à l'unisson avec le mien, cela me fit me sentir en paix. Puis, il s'éloigna de moi, j'eu un pincement au coeur en pensant que j'avais fait quelque chose qui aurait déplu à mon maître qui justifierait cet éloignement.

Ce pincement ressortis dans mes yeux mais fut vite endigué quand mon maître enleva son haut. Je bava presque littéralement en voyant la poitrine de mon maître. Celle-ci était musclé et pourvu de cicatrices, qui venaient sans doute de batailles anciennes.

- "Il fait chaud d'un coup"

Il retourna à mes côtés, se me re-pelotonna contre son flanc, ma tête contre son cou. J'alla le fouiner et frotter mon nez contre.

- "Je ne trouve pas, et puis je déjà peu vêtu donc j'ai moins facilement chaud."

Je souris à sa réflexion
"C'est vrai que tes habits ne te couvrent pas beaucoup"dis-je avec un petit clin d'oeil
Je la caressai doucement, laissant mes mains découvrir son corps, le corps de celle qui me servirait éternellement, je le voyais dans ses yeux.
Je voyais aussi son envie, qui semblait avoir augmenter après que j'ai enlevé mon haut ,je souris devant autant d'amour, si on pouvait appeler cela ainsi.
Je la regardais droit dans les yeux, me perdant dans son regard, voyant tout ce qu'elle pourrais faire si je lui demandais, voyant la loyauté et le désir qu'elle éprouvais envers moi.
Je lui caressai la nuque et posai mes lèvres contre son cou, fermant les yeux, ne voulant être nulle part ailleurs que dans ses bras, sachant qu'elle ne me ferais rien de désagréable

"C'est vrai que tes habits ne te couvrent pas beaucoup"

Il me dit cela en souriant en me faisant un clin d'oeil coquin. Il en profita pour caresser, parcourir mon corps fébrile de ses mains puissantes, ces mains qu'il ne lèvera jamais sur moi. Elles ne faisait pas peur, au contraire je me sentais en sécurité sous son toucher. On se regardait droit dans les yeux quand il vint à son tour me caresser la nuque et butiner mon cou.

Je le tendis et laissa mon cou vulnérable, signe de ma soumission. Je lui laissa savoir toute ma dévotion, ma loyauté, me montra vulnérable face à mon maître. Je sus qu'il ne retournera jamais mes faiblesses, mes craintes contre moi, et j'étais reconnaissante pour cela.

Je caressa tendrement les cheveux de mon maître. Je savais que dès qu'il m'avait libéré de ma cage que je serais sa mère, sa soeur, son amie, sa protectrice, sa servante et son amante. Je deviendrais son tout, comme il était devenu mon tout.

Je souriai en la voyant tendre le cou, me montrant ainsi sa soumission, je sut alors qu'elle m'était entièrement dévouée. Je sus qu'elle serait tout pour moi, une confidente, une servante et bien plus encore.
La voyant vulnérable, je lui mordilla doucement la nuque, caressant sa veste de cuir, ayant trouvé le lacet pour l'enlever je le fit, regardant Abbi enlever son haut, admirant ses formes, je me remis contre elle lorsqu'elle eut fini, fermant les yeux.
"Jure-moi de ne jamais t'en aller, de toujours être à mes côtés"
Je lui demandais juste pou la forme ,je voyais bien dans ses yeux et sa soumission qu'elle serait toujours là pour moi, tel un ange gardien,je sourit de la comparaison.
Je la serrai encore, mes mains se baladant désormais sur son corps, presque nu, je commencai à lui lècher le cou, sentant mon désir enfler encore, son corps me chauffant autant le corps que l'âme. Je la voulait pour moi seul, je voulais tout d'elle.....

Il me mordilla la nuque et défit mon haut en défaisant mes lacets. Le coquin me regardait dans les yeux en commettant son forfait. Une fois mon haut aie rejoint celui de Azraël au sol, il se remit contre mon flanc et referma ses yeux.

"Jure-moi de ne jamais t'en aller, de toujours être à mes côtés"

Je haussa un sourcil me demandant si de part mes actions il n'avait pas comprit mon message. Il me sera contre lui et ses mains se baladèrent librement sur mon corps dénudé. Il me lécha le cou avec délice, je sentis son corps se réchauffer contre le mien. Je décida que des mots seraient mieux que des actes, alors je me dégagea de son étreinte et je me mit à genoux au sol, le poing sur le coeur, la tête baissé*

"- Moi, Abbigaël Stanford, Fille de Lucifer et Lilith la dragonne, jure en mon nom, ma vie et mon âme, de toujours servir mon maître Azraël, de le protéger, de le suivre, de le servir et de lui obéir aveuglement, à mon âme est conscient.

Je fus un peu attristé de la voir s'éloigner ,pensant que je l'avais vexée, mais je la vit s'agenouiller et écarquillais les yeux devant son discours. C'était la fille de Lucifer, mon esprit compara Abbi à son père, je ne trouvais pas une seule ressemblance, elle était beaucoup trop douce et belle pour être la fille du Diable. Je pensais donc que sa mère dragonne devait être d'une incroyable sagesse et avoir un corps divin. Je m'assit donc au bord du lit et tapota la place à coté de moi.
"La place de ma servante n'est-elle pas à mes cotés ?"demandais-je en souriant, alors que je la regardais, me fichant finalement de qui étaient ses parents, elle était ce qu'elle était, une superbe dragonne qui s'était dévouée à moi, je la serrai dans mes bras en me rallongeant.
"En plus tu risque d'avoir froid dans cette tenue"dis-je en étouffant un petit rire
Je recommencai à la lècher au cou et lui mordillai doucement la peau.

- "La place de ma servante n'est-elle pas à mes cotés ?"

A ces mots je releva ma tête, n'en croyant pas mes yeux. Il se moquait totalement du fait que sa servante était la fille du Diable en personne. Il me fixa en silence et en me souriant, me maître devait avoir une case en moins. Ce fit néanmoins ce qu'il me demandait et alla m'asseoir à ses côtés aux bords du lit. Celui-ci m'enlaça dès que je toucha le matelas Et nous rallongeâmes.

- "En plus tu risque d'avoir froid dans cette tenue"

Il rit un peu à sa remarque, puis il repris sa caresse buccale de mon cou qu'il avait commencé. Je lui caressa le dos en rejetant ma tête en arrière, aimant le traitement.

- " Vous pouvez toujours me réchauffer maître."

D'un coup de rein, j'inversa nous position. Je me retrouva à chevaucher mon maître et je lui fit un sourire lubrique. J'en profita de ma position pour caresser la poitrine qui me faisait tant envie depuis que je l'avais vu.

J'aimai ses caresses, elle me réchauffait le dos de ses doigts quand elle me fit tourner et me chevaucha, je souris, pensant sans doute à la même chose qu'elle, vu son sourire qui en disait long sur ses intentions, je lui montrai mon approbation en la laissant toucher mon torse, qu'elle semblait désirer depuis que j'avais enlever mon haut.
Je posais mes mains sur les siennes et lui sourit, avant de les serrer et de les embrasser.
"Laisse-moi te réchauffer, ma douce"
Je lui dis ça avec les mêmes sous-entendu qu'elle, un sourire mi-lubrique, mi-charmeur sur les lèvres. Je reposais ensuite ses mains sur mon torse et la laissait continuer ses caresses, admirant celle qui serait ma douce, ma chère, mon amie intime, oserais-je l'appeler mon amante.
J'avais vu à son regard ,après ma réponse à son discours qu'elle m'avais pris pour un fou, je me fichais effectivement de qui était ses parents, aussi forts soient-ils, je connaissais le jour de ma mort: lorsque le dernier homme mourra, alors, je ne m’inquiétais pas de ce que ferais quiconque contre moi, seule la vie et le bonheur d'Abbi m'intéressais maintenant

Alors que j'appréciais la texture de la poitrine de mon maître, celui-ci posa ses grandes mains sur les miennes. Au début, j'ai cru que ce que je lui faisait lui avait déplu mais il me détrompé directement quand il me sourit et amena mes mains à sa bouche pour les embrasse.

"Laisse-moi te réchauffer, ma douce"

Je rougis plus au sourire qu'il me fit qu'au sous-entendu graveleux. Puis, il reposa mes mains sur son torse pour que je puisse reprendre mon exploration minutieuse de son corps, ce que je fis avec empressement. Mes lèvre suivirent rapidement le chemin pris par mes mains quelques instants auparavant. Elles partirent du cou, où elles laissèrent des traces, puis elle descendirent vers les tétons qu'elles mordillèrent. Ses mains allèrent défaire la ceinture qui la gêné énormément à attendre ce qu'elle désirait le plus.

Je la vit recommencer à me caresser avec convoitise et empressement, elle s'approcha alors et fit suivre à ses lèvres, le même chemin que ses mains, je gémis doucement lorsqu'elle me mordilla les tétons, puis je sourit en la voyant s'acharner à défaire ma ceinture
"Tu semble convoiter ce qui se cache là-dessous, et bien sers-toi"lui dis-je en claquant des doigts, ce qui défit ma ceinture et baissa mon pantalon, laissant voir mon caleçon avec une protubérance non-négligeable qui le déformait dangereusement, c'est en voyant cela que je réalisais à quel point elle m'excitais, de part sa douce chaleur corporelle , et sa loyauté, j'aurais pu lui demander n'importe quoi ,je suis sûr qu'elle l'aurai fait,même si il s'agissait de choses peu recommandables que seuls les démons pouvaient imaginer, lorsqu'il s'agissais de leurs esclaves, même si je me refusais à l'appeler comme tel

Je poussa un soupire de soulagement en voyant mon ennemi déclaré forfait, même si c'était grâce à mon maître. Je me sentis encore émoustillée en voyant la bosse qui s'était formée et que le sous-vêtement ne laissait place à aucune imagination possible.

"Tu semble convoiter ce qui se cache là-dessous, et bien sers-toi"

" Je n'allais pas attendre votre permission, maître. Je comptais bien me servir et à volonté même"

Je sourit et je me redressa pour lui enlever son pantalon, ne lui laissant simplement que son caleçon. J'allais en profiter, voire abuser de son corps comme il n'était pas permis. A mon tour, je me dévêtis, enfin, pour le peu que je porte. Une fois nue sur mon maître, je décida de la taquiner encore plus. Je m'installa sur sa bosse, de façon innocemment, et je joua avec ma poitrine sous ses yeux.

Je sourit en l'observant se dénuder, je ne pouvais m'empêcher de légèrement baver devant son physique de déesse, connaissant beaucoup d'ange qui la jalouserait si elles la connaissait.
Je la regardais se caresser devant moi, aimant cela, voulant remplacer ses mains par les miennes, j'étouffais un gémissement en la sentant sur ma bosse qui grossit devant cet "affront" ,déformant plus mon caleçon.
"Et bien sers-toi mon ange...oh pardon, ma dragonne..."
Je lui dis cela en étouffant un rire , souriant doucement et en allant l'embrasser fougueusement, jouant avec sa langue serpentine.
Je la regardais dans les yeux pendant ce baiser, je me sentis encore plus excité d'y voir un tas de promesses charnelles. Je sut alors que je pouvais l'appeler mon amante et me permettre d'aller plus loin avec elle qu'avec mes anciennes servantes, je sourit en pensant d'ailleurs qu'elle risquait d'aimer cela....

Je glousse en entendant le gémissement que mon maître essayait d'étouffé. Je continua de me déhanchée quand il me dit:

"Et bien sers-toi mon ange...oh pardon, ma dragonne..."

Je ris, puis je descendis pour saluer cette organe qui promet mont et merveille de plaisir. j'enleva le caleçon, puis je fis des caresses légères sur le sexe, presque des effleurements.
Je joignis mes lèvres aux effleurements, caressant tout le long. Puis je m’assoit sur le membre en gémissant, sans prendre la peine de le lubrifier. Je rejette ma tête en arrière pour en profiter, je descendis lentement, une fois bien ancré sur le membre, j'expira doucement. Une fois habitué je commença un léger mouvement circulaire de mes hanches et j'alla embrasser mon maître.

J'écarquillai les yeux devant ce spectacle et cette sensation, elle alla d'abord flatter de la main et de la bouche mon membre qui n'en répondit que plus vite, se gonflant encore.
Je ne peux réfréner un gémissement lorsqu'elle vient s'asseoir dessus, son intimité étant brûlante ,non pas douloureux, mais apaisant, excitant, brûlant de désir, ce qui m'excita encore plus, je me cambrai doucement sous ce désir croissant.
Je posai alors mes mains sur cette poitrine tant désirée et la flattait du bout de mes doigts, alors que je répondais à son baiser, jouant fougueusement avec sa langue agile.
Je lui pinçais doucement les tétons, les roulant entre mes doigts, alors que je remuais mon membre en elle, l'enfonçant plus loin dans son intimité, suivant son mouvement circulaire.
"Ma dragonne.....l'as tu déjà fait avec un mortel ? ou un immortel ?"
Je craignais sa réponse, puisqu'elle était fille de Satan, connaissant son père, il avait dû la donner à un autre de ses sbires qui avait dû "honorer" ce cadeau, je la serrai contre moi, fouinant mon visage dans son cou, voulant réchauffer mon cœur froid à ses cotés.

Je gémis sous les effleurements faites à ma poitrine. Je joua aussi avec la langue de mon maître, le laissant visiter ma bouche.

Je cria en sentant le membre me pénétrer plus profondément en moi. Je ratissa le torse avec ongles, tellement excitée par le fait qu'elle ne faisait qu'un avec son maître.

"Ma dragonne.....l'as tu déjà fait avec un mortel ? ou un immortel ?"


Je m'arrêta de bouger, baissa la tête en détournant les yeux. Je me rappela des années au côté de mon père et des faveurs que j'accordais aux alliés que mon père convoitaient. En échange d'une alliance, je devais satisfaire leurs envies pour un certain temps décidé auparavant. Je secoua de la tête pour chasser de ma tête ses souvenirs peux glorieux qui constituaient mon passé.

"- Oui, je l'ai déjà fait"

Je caressa le torse, dessinant des motifs à l'aide de son index.

je savais que mes paroles l'avait troublé car il m'enlaça contre lui pour m'embrasser tendrement. Je sentis un changement notable dans son comportement, comme ci il essayait de me prouvé qu'il n'était pas comme ses "confrères". Je fis la moue quand il ralentit son rythme, je savais que je n'aurai pas du le dire.*

"Excuse-moi, je n'avais pas à te poser cette question...."

Je fus touchée par la compassion que je vis dans son regard, mais aussi par sa caresse. Je lui souris en retour, lui signifiant que je ne lui en voulait pas.

"- Allons maître, ce n'est rien. Tout cela fait partie du passé, mon passé."

je repris doucement mes mouvements, de haut en bas et de droite à gauche. Je ne voulais pas que notre discussion refroidisse notre "accouplement" qui finalisé notre contrat. L'action qui montrait la domination de mon maître sur moi, me montrant ma place.